Quand on s’adresse à la Justice pour ce qui est au minimum de la non-assistance à personne en danger mais plutôt de la maltraitance à l’hôpital de Modane et plus spécifiquement au centre de soins de suite, on attend, on attend..
Et puis un jour, on est enfin « convoqué » (les docteurs et infirmières fautifs eux sont juste entendus sans avoir à se déplacer ni payer d’avocat..) et on entend alors une juge d’ALbertville dire:
« On sait bien ce qui se passe dans les Ehpad et les hôpitaux, on le sait tous mais que voulez-vous faire ? »
Et quand on dit à cette juge « faites votre travail »..
Elle répond « je ne suis pas un politique »..